Faculté de médecine
16 février 2005
Création d’un nouveau partenariat entre Merck Frosst Canada et la Faculté de médecine

Afin de promouvoir le développement de nouvelles technologies pédagogiques, Merck Frosst Canada Ltée versera 310 500 $ à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal. Cette généreuse contribution permettra, entre autres, la réalisation du Projet de numérisation des cours d’apprentissage par problèmes, Partenariat Merck Frosst 2004-2006.

Qu’est-ce que l’apprentissage par problèmes ?

La Faculté de médecine privilégie depuis 1993 la méthode pédagogique d’apprentissage par problèmes.  Cette méthode implique qu’à partir de la présentation d’un cas clinique, et des données de laboratoire s’y rattachant, l’étudiant, sous la surveillance d’un tuteur, effectue l’extraction des indices pertinents et se fixe des objectifs d’apprentissage qui le conduiront à la résolution du problème en termes anatomiques, physiopathologiques, épidémiologiques, pharmacologiques et thérapeutiques.  Après avoir fouillé les concepts mis de l’avant par le problème, l’étudiant revient confronter ses connaissances à celles accumulées par ses collègues et, à partir de là, évalue la profondeur, la justesse et la pertinence de ses acquis.

«Cette méthode de recherche de la connaissance, conjuguée à une exposition précoce à la médecine clinique, a fait ses preuves, le but ultime étant de permettre aux futurs médecins de mieux répondre aux besoins de leurs patients», souligne M. Normand Dumoulin, directeur de la formation et des activités médicales de Merck Frosst Canada Ltée.


L’APP : une méthode d’enseignement éprouvée

«Ce projet s’inscrit parfaitement dans l‘évolution de nos méthodes d’enseignement.  Leur excellence est incontestable, comme en font foi les résultats de nos étudiants à l’examen national du Conseil médical du Canada. Au cours des cinq dernières années, ils se sont classés premier au palmarès des universités», affirme le Dr Jean L. Rouleau, doyen de la prestigieuse faculté.  «Il est certain que les développements technologiques escomptés, pour plusieurs déjà réalisés, permettront bientôt aux médecins d’insérer, dans la poche de leur blouse blanche d’hôpital, le contenu de tout un cours de médecine, continuellement mis à jour», de conclure le Dr Rouleau.

 

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Université de Montréal, Direction des communications et du recrutement