École Polytechnique
12 mai 2005
Quatre étudiantes lauréates du concours «Chapeau les filles - Excelle science» 2004-2005

Quatre étudiantes de l’École Polytechnique ont reçu un prix lors du gala national de la neuvième édition du concours « Chapeau les filles - Excelle science », organisée le 2 mai dernier par le ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport.

Leïla Benhadjoudja, prix de la communauté culturelle de la confédération des syndicats nationaux
Lorsqu'elle a quitté l'Algérie pour le Québec à l'âge de quinze ans, Leïla s'est trouvée confrontée à de nombreux défis : évoluer dans une autre culture, maîtriser le français et s'adapter aux méthodes d'enseignement nord-américaines. Défis qu'elle a su relever haut la main. Aujourd'hui finissante en génie civil, Leïla souhaite faire une carrière internationale, pour laquelle son ouverture d'esprit et sa capacité à s'adapter dans des milieux interculturels lui seront de précieux atouts.

Anouk Germain-Paquette, prix Excelle Science du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport.
Ayant de multiples centres d'intérêt, Anouk s'est toujours gardée de se laisser enfermer dans un seul domaine. Après avoir étudié la guitare et la clarinette au secondaire, elle a obtenu deux diplômes d'études collégiales en trois ans : l'un en sciences humaines, l'autre en sciences de la nature. Anouk souhaite que des efforts supplémentaires soient faits pour informer les jeunes filles au secondaire au sujet des études en génie et les encourager à s'engager dans cette voie. Elle même a choisi le génie civil, attirée par l'aspect humain  de cette discipline. Son ambition? «Aider la société avec la science et aider la science avec la société.»

Marylène Ferland, grand prix du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport.
Finaliste deux années de suite à la compétition provinciale Expo-Sciences, distinguée lors de plusieurs compétitions en mathématiques, Marylène Ferland a très tôt été séduite par les sciences et a toujours cherché à partager sa passion, par exemple en concevant et en animant des ateliers scientifiques destinés aux jeunes défavorisés de son quartier. Marylène savait, dès son entrée en sciences pures au cégep, qu'elle serait ingénieure. Cette étudiante en génie mécanique engagée dans différentes activités bénévoles s'est donnée pour mission de restaurer l'image des chercheurs.«Les chercheurs sont très concernés par le monde qu'ils habitent et veulent trouver des solutions à des problèmes concrets.» Comptons sur Marylène pour convaincre le plus de jeunes filles possible qu'elles aussi peuvent changer le monde.

Sophie Morin, prix Excelle Science du ministère du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation
Membre de la troupe de Casse-Noisette avec les Grands Ballets Canadiens, puis professeure de danse, cette future ingénieure industrielle de 21 ans a réussi un parcours sans faute, en conjuguant avec bonheur ses deux passions : l'art et la science. En troisième année à Polytechnique, Sophie s'intéresse tout particulièrement aux relations «humain-machine». Elle souhaite commencer sa carrière en entrant en contact direct avec les gens d'usine et les opérations de chaînes de production, de préférence en agroalimentaire.

Source:
École Polytechnique

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