Édition du 20 septembre 2004 / volume 39, numéro 4
 
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Probité intellectuelle: l'Université accélérera le traitement des plaintes - Journée sans voiture à l'UdeM - Financement universitaire: le recteur s'inquiète - Société du patrimoine - Quatre personnes demeurent en lice pour succéder à Robert Lacroix

L'Université accélérera le traitement des plaintes

Marie-France Bich

Les plaintes liées à la probité intellectuelle seront acheminées rapidement au comité de discipline
Désormais, les plaintes associées à l'inconduite scientifique seront traitées avec plus de rapidité qu'elles ne l'ont été jusqu'à présent. L'Assemblée universitaire a en effet adopté, le 13 septembre, une révision des règles à suivre dans de tels cas.

«La procédure actuelle est entachée d'un vice majeur, soit sa lenteur, a résumé Marie-France Bich, professeure titulaire à la Faculté de droit et membre du comité mis sur pied l'an dernier par le vice-recteur à la recherche, Alain Caillé, afin de revoir le mécanisme des plaintes relatives à la probité intellectuelle. «Justice delayed is justice denied», a-t-elle lancé, indiquant que le report indu d'une décision constitue en soi un déni de justice.

Comme l'ont souligné plusieurs membres de l'Assemblée universitaire au cours du vif débat qui a suivi la présentation de la proposition par Mme Bich, l'éthique en recherche est un des enjeux principaux de la vie universitaire contemporaine. D'ailleurs, comme l'a rappelé la vice-doyenne, aujourd'hui, la majorité des litiges en matière disciplinaire touchent à la probité intellectuelle.

Les modifications, finalement acceptées par 36 voix contre 16 ­ et 4 abstentions ­, entraînent donc l'abolition du comité d'étude préliminaire des plaintes se rapportant à la probité intellectuelle et celle du transfert de la responsabilité de l'examen préliminaire au vice-recteur à la recherche.

«Cette façon de faire, rapportent Mme Bich et ses collègues, nous paraît donner au processus toute la souplesse et l'efficacité recherchées, tout en permettant au vice-recteur de faire appel aux personnes ayant les compétences nécessaires selon la nature des cas qui se présentent.»

Cette suggestion vise à clore rapidement les dossiers qui n'iront pas devant le comité de discipline et, dans le cas contraire, à permettre à ce dernier de recevoir les plaintes plus rapidement. Ainsi, une décision pourra être rendue dans des délais raisonnables.

Certains intervenants à l'Assemblée universitaire ont fait valoir qu'il serait plus simple de supprimer l'étape préliminaire et d'acheminer les plaintes directement au comité de discipline. Mais à cela Mme Bich a rétorqué que les organismes subventionnaires fédéraux et américains exigeaient que les universités se dotent d'«un processus de tamisage préliminaire» en de tels cas.

Elle a aussi souligné que, dans les formulaires de demande de subvention, les organismes cherchent systématiquement à savoir si le professeur fait l'objet d'une plainte et elle a rappelé que la lenteur du processus d'examen de la plainte pénalise l'intéressé, parfois pendant plusieurs années.

Qu'entend-on par inconduite scientifique? Essentiellement la fabrication, la falsification et la suppression de résultats de recherche; le plagiat et l'autoplagiat; l'appropriation de résultats, de données ou de concepts nouveaux dont un chercheur aurait pris connaissance dans un processus d'évaluation par les pairs pour la signature de publications et de demandes de fonds ou encore celle de critères sans rapport avec la contribution intellectuelle des chercheurs; et la non-divulgation de conflits d'intérêts à l'évaluation de demandes de subvention ou de la présentation de manuscrits soumis en vue d'une éventuelle publication.

Le vice-recteur à la recherche, M. Caillé, s'est dit en accord avec les améliorations apportées à la politique de l'Université sur la probité intellectuelle en recherche.

Paule des Rivières

La journée sans voiture est soulignée à l'UdeM
Le groupe Équiterre a ciblé l'Université cette année afin de toucher les jeunes

Depuis 1998, le 22 septembre est consacré journée internationale «en ville sans ma voiture». Pour une deuxième année d'affilée, Montréal participe, avec 1500 autres villes ailleurs dans le monde, à cette manifestation qui vise à réduire les effets néfastes d'une trop grande utilisation de la voiture.

Le but d'une telle journée est d'inciter les automobilistes à aller travailler autrement qu'en solitaire dans sa voiture, c'est-à-dire en vélo, à pied, avec le transport en commun ou, au pis aller, en recourant au covoiturage. À cette fin, plusieurs rues du centre-ville et du Plateau-Mont-Royal seront fermées à la circulation automobile une partie de la journée.

Cette année, le groupe écologiste Équiterre, l'un des organisateurs des activités de cette journée, a désigné le campus de l'UdeM comme l'un des principaux lieux où se tiendront des activités de sensibilisation. «Nous avons visé l'Université de Montréal pour toucher les jeunes, qui constituent un public cible pour le transport en commun et qui ont à faire un choix quant à leur mode de locomotion, explique Marilène Bergeron, chargée de projet à Équiterre. De plus, l'Université et les hôpitaux du quartier sont moins bien desservis par les autobus et le métro que les établissements du même genre au centre-ville et nous voulons que des pistes cyclables soient aménagées dans le secteur.»

Même si aucune piste cyclable ne mène à l'UdeM, les 1000 supports à vélos répartis sur le campus sont devenus nettement insuffisants comme on peut le constater à la vue des nombreuses bicyclettes attachées un peu partout à l'entrée des pavillons.

À 7 h 30 le 22 septembre, un convoi de cyclistes partira du parc Jeanne-Mance et se dirigera vers l'UdeM pour soutenir la demande d'une piste cyclable dans le quartier. Suivra une conférence de presse au cours de laquelle le recteur, Robert Lacroix, prendra la parole.

En fin de matinée, divers groupes écologistes installeront leurs pénates sur la place de La Laurentienne. Outre Équiterre, on y retrouvera Greenpeace, la Société environnementale Côte-des-Neiges, le comité environnemental de l'UdeM UniVERTcité, celui de Polytechnique, le comité Humaniterre de HEC Montréal, de même que le club de marche de l'UdeM. Également présent, le Service de covoiturage de l'Université se fera connaitre des automobilistes en distribuant de l'information aux usagers des stationnements en début de journée.

La direction de l'UdeM, par l'intermédiaire de la Direction des immeubles (DI), apporte son soutien à la tenue de ces activités. «L'Université a toujours facilité le travail d'Équiterre en lui permettant de tenir des kiosques sur le campus, indique Denis Tardif, directeur de division à la DI. Elle s'est aussi déjà montrée favorable à l'aménagement d'une piste cyclable du côté sud de son territoire, en bordure du cimetière de la Côte-des-Neiges, et qui serait rattachée aux pistes du parc du Mont-Royal.»

L'ajout de petits contenants à déchets aux poubelles de bureau permettra d'utiliser ces poubelles comme bacs de recyclage.

Recyclage

La Direction des immeubles consacre d'autres efforts à la cause environnementale en poursuivant l'installation de bacs pour la collecte sélective dans les divers pavillons du campus. «À ce jour, environ 250 bacs permettant de disposer séparément du papier, du verre, du métal, du plastique et des déchets ont été installés et, à la fin de 2006, on devrait en trouver dans tous les pavillons, même les plus petits», affirme Michel Rouleau, technicien en environnement à la DI et chargé de cette opération.

La mise en place de ce matériel s'accompagne d'une tournée de sensibilisation auprès des usagers et des employés des pavillons concernés. Le pavillon Marie-Victorin fait l'objet d'un projet pilote et, selon M. Rouleau, les résultats s'annoncent très encourageants.

Le technicien invite toutefois les usagers à bien respecter les consignes et à déposer les objets dans les bacs appropriés. «Si une assiette de spaghettis est vidée par mégarde dans le bac à papier, c'est tout le contenu du bac qu'il faut alors jeter», souligne-t-il.

De plus, la DI a commencé la distribution de petits bacs qui s'accrochent à la poubelle de bureau. Ce bac amovible est destiné à devenir la véritable poubelle pour ceux qui n'ont que très peu de déchets non recyclables à jeter; l'ancienne poubelle, souvent surnommée le «petit classeur gris», devient alors un bac à papier. Lorsqu'elle est pleine, il suffit de la vider dans les bacs plus grands dont chaque bureau est doté. Simple, mais il fallait y penser.

Comme autre moyen simple permettant à chacun de faire sa part pour l'environnement, la DI distribue des tasses à café aux logos du comité UniVERTcité et de la FAECUM, ce qui limite l'utilisation des verres de styromousse.

Daniel Baril

Financement universitaire: le recteur s'inquiète

Robert Lacroix

Robert Lacroix n'attend aucun changement majeur du côté des cégeps

Dressant un état de la situation devant les membres de l'Assemblée universitaire lundi dernier, M. Lacroix n'a pas caché son inquiétude. Il a aussi noté que «le temps presse», car il est essentiel de remettre le dossier sur le devant de la scène avant la fin de l'année. Les universités n'auront d'autre choix si elles veulent être incluses dans le prochain budget provincial, habituellement présenté en mars.

D'ici là, le recteur, qui est président de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), entend, avec ses collègues des autres établissements, élaborer «une proposition relativement claire et précise» sur le financement universitaire.

Rappelons que le ministère de l'Éducation a déjà reconnu, dans une étude qu'il a effectuée conjointement avec les universités, que les établissements québécois faisaient face à un déficit de 375 M$ par année.
Par ailleurs, M. Lacroix ne s'attend pas à des changements majeurs du côté des cégeps, en dépit de la tenue d'un forum sur cet ordre d'enseignement en juin.

«Il semble maintenant acquis que nous ne verrons pas de grandes modifications dans les structures de l'enseignement postsecondaire au Québec», a-t-il résumé.

Quant à la Commission parlementaire sur les universités, qui s'est tenue en février dernier, M. Lacroix a rappelé que le rapport qui en a découlé reconnaissait le sous-financement. Mais, a-t-il ajouté, «le dossier depuis lors n'a pas évolué».

Enfin, les choses ne sont guère plus rassurantes du côté d'Ottawa, où «les réseaux ont complètement changé. Ce sont de nouveaux ministres et cela crée une très grande incertitude.»

Admissions à la hausse

Tous cycles confondus, les admissions ont augmenté de 4 % cet automne, par rapport à pareille date l'an dernier. Mais c'est surtout aux cycles supérieurs que la hausse est remarquable, plus particulièrement au deuxième cycle, où le redressement affiché permet à l'Université de retrouver le nombre d'inscriptions observé au milieu des années 90. La situation n'est cependant pas aussi réjouissante du côté des études doctorales, même si la tendance est à la hausse.

Il est à noter que la Faculté de l'éducation permanente connaît un accroissement considérable de ses inscriptions, soit 16 %. Et l'augmentation du nombre des étudiants étrangers tourne autour de 6 %.

P.D.R.

La Société du patrimoine favorise la reconnaissance du don ultime!

Le Dr Serge Rossignol

«J'ai appris qu'on appelle le don planifié le don ultime.» C'est dans ces termes que le recteur, Robert Lacroix, lançait officiellement la Société du patrimoine devant des donateurs de tous âges le 9 juin dernier. «Eh bien, sachez que vous êtes nombreux à faire de l'Université votre cause ultime! En effet, des centaines de personnes envisagent de faire un don planifié à l'Université de Montréal et s'adressent régulièrement, et en toute confidentialité, au Fonds de développement.»

Dernière venue de la famille des cercles de reconnaissance, la Société du patrimoine regroupe les donateurs qui ont prévu un don planifié en faveur de l'Université ou de l'une de ses facultés ou unités. Et pour donner plus de visibilité à cette démarche, une soixantaine d'entre eux ont accepté de rendre public leur geste. Cette société réunit également les représentants des 113 successions qui ont déjà consenti un legs à l'UdeM. De plus, il faut compter quelque 200 autres donateurs qui ont confirmé leur don mais qui ont choisi de demeurer discrets.

M. Lacroix a souligné à juste titre qu'il n'est pas nécessaire d'être millionnaire pour planifier un don. «Toute personne qui se préoccupe de l'avenir de notre établissement peut donner de cette façon. Moi-même, je l'ai fait et je souhaite que plusieurs autres rejoignent les rangs de la Société du patrimoine. Je peux vous assurer que l'Université saura se montrer à la hauteur de la confiance que vous placerez en elle en accomplissant un geste aussi personnel. Au nom de tous ceux qui bénéficieront un jour de vos dons, merci!»
Pour ceux et celles qui se demandent à quoi servira leur don, le Dr Serge Rossignol, directeur du Centre de recherche en sciences neurologiques, parle au nom de ceux qui en bénéficient: «Les dons planifiés servent à former de nouveaux étudiants, à recruter de nouveaux chercheurs et à les établir dans le domaine de recherche ciblé par le don. Le don planifié a aussi un effet de levier qui permet d'aller chercher des fonds substantiels des organismes gouvernementaux.»

Deux étudiantes ayant bénéficié de cet apport financier nous ont confié qu'elles se considéraient comme des privilégiées. Grâce à un donateur partageant leurs passions, dans ces cas-ci la musique et les études françaises, leurs rêves sont devenus réalité!

Chantal Thomas,
directrice de la Division des dons majeurs et planifiés

Quatre personnes restent en lice pour succéder à Robert Lacroix

Trois personnes qui étaient en lice pour succéder à Robert Lacroix ont demandé ces jours derniers que leur nom soit retiré de la liste des candidats. Il s'agit de MM. Jacques Frémont, professeur titulaire à la Faculté de droit, Joseph Hubert, doyen de la Faculté des arts et des sciences, qui présente dans cette page les défis qui se posent à son avis à l'Université, et Jean Rochon, consultant et ancien ministre du gouvernement du Québec. Les candidats sont donc désormais au nombre de quatre, soit Suzanne Fortier, première vice-rectrice aux études à l'Université Queen's, Mireille Mathieu, présidente-directrice générale du CLIPP et professeure titulaire au Département de psychologie, Marc Renaud, président du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, et Luc Vinet, premier vice-recteur à l'Université McGill.

Mmes Fortier et Mathieu participeront à la rencontre publique du mardi 21 septembre afin de permettre à la communauté universitaire de se familiariser avec leur vision de l'établissement et de poser des questions. MM. Renaud et Vinet ont décliné l'invitation. Le débat aura lieu à l'amphithéâtre Ernest-Cormier du pavillon Roger-Gaudry, à midi.

Joseph Hubert retire son nom de la liste

Il faudra associer toute la communauté universitaire aux objectifs que nous nous serons fixés
En tout premier lieu, je désire remercier les membres de la communauté universitaire qui ont proposé ma candidature au poste de recteur de notre université. Il s'agit là d'un geste de confiance qui m'a beaucoup touché. Jusqu'à présent, j'avais maintenu mon nom sur la liste de nomination afin de laisser à la communauté le temps d'exprimer ses souhaits et d'approfondir sa réflexion, et ce, dans le respect du processus usuel de nomination des cadres académiques. Aujourd'hui, des raisons personnelles font que je ne puis garantir à la communauté universitaire d'être en mesure d'assumer pleinement les fonctions de recteur, le cas échéant. Par conséquent, il me paraît approprié de retirer maintenant mon nom de la liste des «candidats».

L'Université de Montréal a connu, sous la direction du recteur Robert Lacroix, une remarquable croissance à plusieurs égards. Les progrès ont concerné: i) les études et la formation (programmes, recrutement des étudiants, persévérance aux études, financement des étudiants aux cycles supérieurs...); ii) la recherche (financement, structuration...); iii) le rayonnement de l'Université sur les plans local, national et international; iv) les activités de développement; et v) la construction de nouveaux espaces pour des activités d'enseignement et de recherche.

Nombreux sont les défis qui attendent notre université. Le Conseil de l'Université, dans son document intitulé «Réflexions du Conseil de l'Université sur la nomination du recteur ou de la rectrice» (Forum, 2 février 2004), les a présentés avec justesse et réalisme. Quatre collègues, mis en nomination pour le rectorat, en ont également mentionné plusieurs (Forum, 30 août 2004). Toutefois, il sera plus difficile que par le passé de relever avec succès tous ces défis: la conjoncture est nettement plus défavorable à Québec et très incertaine à Ottawa. Malgré cette conjoncture peu propice, nous devons continuer notre progression afin d'assurer à nos étudiants une formation de qualité et ouverte sur la société et le monde du 21e siècle.

Voici quelques défis qui me semblent les plus importants.
- De manière générale, une consolidation de nos acquis et une croissance plus ciblée sont souhaitables tant sur le plan de la formation que sur celui de la recherche.
- Sur le plan de la formation plus particulièrement, nous devons mettre l'accent sur l'originalité, la qualité et la pertinence de nos programmes d'études. Une intégration plus forte de la dimension internationale dans nos programmes est aussi essentielle pour mieux préparer nos étudiants à vivre et à travailler dans un monde plus interdépendant et plus global. Pensons à l'avance prise en la matière par plusieurs grandes universités et écoles européennes.
- Sur le plan de la recherche, un certain déséquilibre du développement de la recherche entre les disciplines demande à être corrigé.
- En appui à nos projets, la recherche active et innovante de financement autre que gouvernemental doit être poursuivie, voire accentuée.
- L'organisation et le fonctionnement de notre administration doivent être revus, améliorés et simplifiés afin de mieux répondre à nos missions.
- La mise à niveau et le développement des infrastructures de notre université réclameront un effort majeur.
- Enfin, le renouvellement accéléré de toutes les catégories de personnel pose ses propres défis.

Les progrès des dernières années se sont concrétisés grâce à une mobilisation enthousiaste et productive de la communauté universitaire. Dans les conditions actuelles, cette mobilisation sera plus nécessaire que jamais. Aussi, j'ai l'intime conviction qu'un projet aussi ambitieux et exigeant que celui que nous formons pour notre université ne pourra aboutir qu'à la condition suivante: y associer pleinement toute la communauté universitaire et gagner son adhésion aux objectifs que nous nous serons fixés et aux moyens mis en oeuvre pour les atteindre.

En terminant, je désire vous assurer de mon profond engagement à continuer de travailler à l'essor de notre université et de la Faculté des arts et des sciences.

Joseph Hubert,
doyen de la Faculté des arts et des sciences

Comité de consultation pour la nomination du recteur ou de la rectrice

Le Comité de consultation organisera des rencontres en vue d'entendre toute personne ou tout groupe de personnes désirant s'exprimer au sujet de la nomination du recteur ou de la rectrice.

Les rencontres auront lieu aux dates suivantes :
- le mercredi 13 octobre, de 16 h
à 19 h;
- le jeudi 14 octobre, de 9 h à 12 h;
- le lundi 18 octobre, de 19 h à 22 h;
- le vendredi 22 octobre, de 9 h à 12 h;
- le lundi 25 octobre, de 14 h à 17 h;
- le jeudi 28 octobre, de 9 h à 12 h;
- le lundi 1er novembre, de 19 h à 22 h;
- le lundi 8 novembre, de 16 h à 19 h;
- le vendredi 12 novembre, de 14 h à 17 h;
- le mercredi 17 novembre, de 16 h à 19 h;
- le jeudi 18 novembre, de 19 h à 22 h.

Les personnes intéressées sont priées de prendre rendez-vous auprès du secrétariat du Comité au (514) 343-7531 au plus tard le vendredi 22 octobre, à 17 h.

Veuillez prendre note que la durée d'une rencontre est de 15 minutes.
Le Comité invite ceux et celles qui le désirent à lui transmettre un texte.

Le Comité de consultation pour la nomination du recteur ou de la rectrice
Secrétariat général
Pavillon Roger-Gaudry
Université de Montréal



 
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