Édition du 17 janvier 2005 / volume 39, numéro 17
 
  Actualités
Le coup de patin du recteur - Nouveau membre au Cercle du doyen de la Faculté de pharmacie - Joey et Odette Basmaji offrent un soutien aux étudiants - Une diplômée rend hommage à sa mère

Le coup de patin du recteur

Le recteur, Robert Lacroix, a inauguré le 11 janvier la patinoire de l’Université, située chemin de la Tour, sur la partie ouverte du garage Louis-Colin, face au pavillon Paul-G.-Desmarais. Il est accompagné de Sophie Beaubien, gestionnaire de projet à la Direction des immeubles, qui a la responsabilité du projet de patinoire, et de Robert Couvrette, directeur des immeubles.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Nouveau membre au Cercle du doyen de la Faculté de pharmacie

Sur la photo, de gauche à droite: le doyen de la Faculté de pharmacie, Jacques Turgeon; Claude Lafontaine, président du Cercle du doyen; Albert Adam, récipiendaire de la plaque Membre à vie du Cercle du doyen; et le recteur, Robert Lacroix.

Le Cercle du doyen de la Faculté de pharmacie est heureux et fier d’accueillir dans ses rangs un nouveau membre à vie: Albert Adam (Liège, promotion de 1971). C’est au cours de la deuxième conférence du Cercle, tenue le 15 septembre dernier, que cette annonce avait été faite. Toutefois, comme M. Adam était retenu à l’étranger à ce moment-là, nous n’avions pu profiter de l’occasion pour la prise de photo officielle. Monsieur Adam, bienvenue parmi les membres du Cercle!
 
Joey et Odette Basmaji offrent un soutien aux étudiants

On reconnaît sur la photo, à la première rangée et de gauche à droite: Éric Couto, lauréat d’une bourse CRI-VIFF, Maryse Rinfret-Raynor, vice-rectrice à l’enseignement de premier cycle et à la formation continue et directrice du CRI-VIFF, Odette Basmaji, Karine Racicot, gagnante de l’autre bourse du CRI-VIFF, Dong Yi, à qui a été attribuée la bourse Basmaji, et Joey Basmaji; à la deuxième rangée, Joseph Hubert, doyen de la Faculté des arts et des sciences, et le vice-recteur aux affaires publiques et au développement, Guy Berthiaume.

Le 2 décembre dernier a eu lieu le lancement du Fonds de bourses de la Fondation de la famille Joey et Odette Basmaji ainsi que la remise des bourses du CRI-VIFF. Trois étudiants travaillant sur la problématique de la violence faite aux femmes et aux enfants se sont vu offrir des bourses qui leur permettront de poursuivre le travail dans ce domaine. Près d’une cinquantaine de personnes étaient présentes à cet événement, dont Joey Basmaji et sa conjointe, Odette Basmaji.
 
Une diplômée prévoit la création d’un fonds à la mémoire de sa mère

Denise Plamondon, une diplômée du Département de science politique qui est aujourd’hui cadre dans une grande entreprise, vient d’accomplir un geste de générosité en faisant un legs substantiel à l’Université qui permettra la création d’un fonds à la mémoire de sa mère, Noëlla Labonne-Plamondon.

«C’est d’autant plus important de soutenir l’Université que les besoins sont de plus en plus grands. Il faut qu’on se solidarise, en tant que diplômés, pour soutenir l’éducation et les études supérieures, en fait ce qui nous a permis, à moi ainsi qu’aux gens de ma génération, de mener des carrières fructueuses. L’éducation est un droit, et l’on doit le préserver comme un bien très précieux.»

Cadette d’une famille de huit enfants, Denise Plamondon a été élevée par une mère qui se retrouva veuve à l’âge de 40 ans. Cet chef de famille, qui a soutenu le commerce familial et avait tout juste une troisième année scolaire «forte», a pourtant transmis à ses enfants des valeurs solides pour aborder la vie avec confiance et optimisme. L’éducation supérieure était au centre des priorités familiales. Alors que les aînés ont dû aller sur le marché du travail pour aider financièrement la famille, Denise a pu avoir accès aux études notamment grâce à l’aide financière du gouvernement du Québec et au soutien de sa mère.

Originaire d’Amos, Mme Plamondon a bénéficié de prêts et bourses du gouvernement. Elle a été de la première cohorte à profiter du régime et attribue à ce privilège la chance d’avoir poursuivi des études universitaires. «Les femmes, et qui plus est, issues des régions, étaient loin d’être favorisées dans les années 60. Elles n’avaient accès au cours classique qu’à force d’acharnement; il fallait être très motivées pour réussir et, aussi, avoir un peu de chance.»



 
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