Édition du 14 février 2005 / volume 39, numéro 21
 
  d’une traite
Aude Maltais-Landry remporte la bourse AJIQ-Le Devoir - Pierre-C. Fortier réélu président de la Fondation de Polytechnique - Claude Mailhot honorée en France - Sept prix du FRSQ vont à l’UdeM - Jean Mathieu nommé chevalier de l’Ordre national du mérite

Aude Maltais-Landry remporte la bourse AJIQ-Le Devoir

Aude Maltais-Landry, récemment diplômée du certificat en journalisme de la Faculté de l’éducation permanente, est la grande gagnante de la bourse AJIQ-Le Devoir 2004, décernée par l’Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ) et le quotidien Le Devoir.

C’est la deuxième année de suite qu’une diplômée de la Faculté remporte cette bourse. L’an dernier, Karine Bernard en était la lauréate.

Le projet d’Aude Maltais-Landry récompensé par le jury de la bourse 2004 porte sur les réunifications familiales dans les prisons québécoises. La lauréate recevra 2000 $ pour la réalisation d’un reportage qui prendra la forme de deux articles de 1200 mots chacun publiés dans Le Devoir.

Le jury était présidé par Jean-Claude Leclerc, professeur de journalisme à l’UdeM et chroniqueur. Il était composé des journalistes du Devoir Clairandrée Cauchy et Louise-Maude Rioux Soucy ainsi que des journalistes indépendants (membres de l’AJIQ) Jeanne Morazain et Mathieu-Robert Sauvé.

Pierre-C. Fortier réélu président de la Fondation de Polytechnique

Pierre-C. Fortier, ingénieur diplômé de l’École Polytechnique en 1957, a été réélu à la présidence de la Fondation de Polytechnique en septembre dernier.

Depuis janvier, M. Fortier préside en outre un groupe de travail chargé de faire le point sur la valorisation de la recherche au Québec, à la demande du ministre du Développement économique et régional et de la Recherche, Michel Audet.

Le groupe de travail aura à formuler des recommandations au ministre sur les moyens financiers et organisationnels à privilégier pour assurer la pérennité et le développement de la valorisation de la recherche au Québec, processus par lequel des résultats de recherche se traduisent en innovations commercialisées en entreprise.

Claude Mailhot honorée en France
Claude Mailhot, vice-doyenne de la Faculté de pharmacie, s’est vu remettre le 8 décembre dernier un doctorat honoris causa de l’Université de Picardie Jules-Verne. Cet honneur s’ajoute à une série de marques de reconnaissance que Mme Mailhot a reçues au cours d’une carrière bien remplie.  
Sept prix du FRSQ vont à l’UdeM

L’Université de Montréal et ses établissements affiliés ont retenu l’attention du comité de sélection des prix annuel d’excellence du Fonds de la recherche en santé du Québec (FRSQ) pour 7 des 13 prix de l’année 2004 décernés à la relève. Ce sont nos chercheurs qui récoltent le plus de mentions parmi les universités québécoises.

Les travaux de Sara Bélanger, Véronique Chassé et Alain Legault, tous de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal, de Judith Brouillette, de l’Institut de cardiologie de Montréal, d’Annie Rochette, de l’École de réadaptation, de Mirna Sirinyan, du Centre de recherche de l’hôpital Sainte-Justine, d’Isabelle Thiffault, du CHUM, et de Wann Pasto Boubacar, du Centre de recherche de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, se sont distingués par «l’excellence du travail scientifique, autant en ce qui concerne l’avancement des connaissances que la clarté et le didactisme des présentations», selon le FRSQ.

D’une valeur de 1000 $, les prix d’excellence du FRSQ pour la meilleure présentation faite dans un colloque ou un symposium sont destinés aux étudiants diplômés, postdoctoraux ou résidents à temps plein en recherche.

Jean Mathieu nommé chevalier de l’Ordre national du mérite

Professeur émérite de l’Université, Jean Mathieu a été nommé le 18 janvier dernier chevalier de l’Ordre national du mérite. Cette nomination vient souligner sa «contribution sans relâche et exceptionnelle aux valeurs porteuses d’humanisme, d’éthique et de morale», comme le stipule un communiqué.

Cet honneur n’est pas le premier qui lui échoit. Le Dr Mathieu, qui a consacré 35 années de sa vie à la formation de médecins francophones, a été fait en 1990 officier des Palmes académiques. À la même époque, l’Université l’élevait au grade de professeur émérite.

Jean Mathieu continue de travailler dans le milieu, notamment au sein de la Conférence internationale des doyens et des facultés de médecine d’expression française, «restant pour les jeunes générations un exemple admirable».



 
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